Petites anecdotes au Vietnam

La première chose qui marque lorsque vous arrivez dans la capitale du pays, Hanoï, c’est sa circulation démentielle. Un joli bordel organisé. En ce postant à un carrefour, nous avons un peu l’impression que se joue devant nos yeux un ballets de motos, scooters et voitures qui se croisent, dépassent et roulent n’importe comment sans jamais se toucher. On se demande comment ils font. De notre côté, quand il s’agit de traverser c’est une autre histoire. Comment se frayer un chemin parmi toute cette circulation. En nous lançant, nous ne pouvons nous empêcher de contracter nos orteilles comme si cela empêcherait les voitures de nous rouler sur le pied. Bilan quelques frayeurs et beaucoup de fous rires.

Loin de la circulation démentielle d’Hanoï, les montagnes du Nord et leurs ethnies représentent un vrai régal pour les

yeux avec les couleurs des paysages et des vêtements traditionnels. Et entre deux randonnées, nous découvrons la gentillesse et l’accueil des habitants. Alors qu’ils vivent dans des conditions déplorables, ils partagent avec simplicité leur quotidien et leur repas. Et même si ils ne parlent pas anglais ou français, nous avons passé des moments rares en leur compagnie autour notamment du repas et du fameux alcool de riz ( passage obligé pour ne pas froisser leur hospitalité). Disons le simplement, nous avons appris juste une expression en Vietnamien “santé” – Ai bai joy, ai bai joy, Tchum Tchum Quare. Quant à l’estomac, il est bien décapé et débouché !

15/04/2016

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